Kospicki Aloyzi (allée)

Commentaire(s) : Après l’explosion de la caserne de Bonne dont il est le principal artisan, Aloyzi Kospicki n’est pas inquiété. Son bataillon déménage à l’école Vaucanson. C’est là qu’il déserte, en compagnie de son ami Gradinski, pour rejoindre un de ses compatriotes polonais à Domène. Ils intègrent alors le groupe-franc « Petit-Louis », du nom de son chef, Louis Clavel. Le 20 août, à Domène, à deux jours de la Libération de Grenoble, Aloyzi Kospicki tombe sous les balles d’une patrouille allemande alors qu’il effectue une reconnaissance pour son groupe. Articles de presse uniquement ou documents manuscrits.

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